Espe' et sa bonne humeur... [ Libre ]

On peut dire que la journée avait désespérément mal commencé, pour notre Esperanza adorée. Dès le matin, elle se faisait enquiquinner par ses chieurs de frères, qui, une fois deplus, avait interrompu la grasse matinée qu'Espe' avait décider de prolonger. Ils avaient décidés de s'armer de pistolets a eau, bien sur, qui étaient chargé a plein. Alors qu'ils entraient, a 11H dumatin, dans la chambre douillette de la jeune espagnole, celle-ci ne se doutait pas qu'elle allait prendre une douche glacée. Pshiiiit ! Firent les pistolet, alors qu'il dégueulaient leur eau gelée sur Esperanza. Celle-ci poussa alors un hurlement effroyable, jettant ses draps par par dessus son lit, se mettant a poursuivre ses deux diaboliques fréros a travers leurimmense demeure. Et, bien sur, elle n'arriva pas a les capturer, pour leur donner la raclée de leur vie. Se résignant a retourner dormir, et puis, son lit était trempé, elle hurla a sa bonne :

Maria ! Mon lit est trempe ! Viens changer tout ça !

Et bien sur, l'adorable domestique accourut auprès de sa jeune patronne, pour changer les draps, et sécher le matelas. Bien que sa femme de m&nage et tout le tralala était a ses pieds, Espe' avait du mal a être gentille, a part avec Maria, avec qui elle pouvait être parfois adorable. Enfin, ce n'était pas tous les jours non plus. Mais elle lui devait bien ça. Ah la la, que serait-ele sans sa bonne ? D'ailleur, ca va être horrible, quand elle va emménager dans son appartement, ca va être le boxon complet.

Bref, oublions tout ça. La jeune fille, toujours en tenue de nuit, se dirigea vers sa douche, ayant la flemme de préparer un bain chaud. Erreur... On ne sait comment, alors qu'Esperanza se rinçait les cheveux, l'eau devint glacée. Elle du se rincer sous l'eau froide... Enfin rhabillée, d'une robe arrivant a mi cuisse, son maillot de bain dessous, elle alla, en marchant, jusqu'a la plage. Bien sur, ca faisait une trotte, mais ca lui permettrait de se réchauffer...

Quand elle arriva a la plage, une heure plus tard (eh oui, Espe' marche trèèèsl entement...) elle remarqua que celle-ci était bondée. Pas étonnant, vu qu'il faisait très chaud. Choisissant une place, entre deux familles bruyantes, elle étala sa serviette de bain, et posa son sac dep lage a côté. Ele retira sa robe, et s'allongea sur sa serviette, tout en fermant les yeux. Grace a son problème auditif, elle entendait très vaguement les bruits alentours, et c'était plutot arrangeant...

Jeff avait connu une matinée beaucoup plus agréable d'Esperanza. En fait, pour lui tout était la belle vie depuis qu'il n'était plus sous les bombes à dormir dans la poussière. Dans son nouvel appartement, tout rayonnait de propreté... mais qu'est-ce qui vous dit que ça va durer ?!? Le chant mélodieux des oiseaux l'avait réveillé de bien bonne heure et il avait prit une de ses < ration K > que les soldats mangeaient quand la nourriture de tous les jours leur manquait. Cette fameuse ration était composé de barres de chocolats, de lait, oeufs et toutes les choses que vous manger habituellement mais en poudre ou bien en canne... délicieux. Mais Jeff était maintenant tellement habitué qu'il s«'en foutait éperdument. Le soleil était magnifique. Il n'avait aucune voiture à sa disposition mais cela valait-il vraiment la peine quand on a eu un entraînement où vous deviez parcourir 10 km en une heure en montant le flanc d'une colline ?! Eh bien non !

Armé de bon soulier de course et une serviette, des lunettes, une ration K, un livre, le tout dans un paquetage, il se mit en route. Courant en slalonnant entre les passant, il se rendit en une heure à la plage à 6 kilomètre de chez lui. En effet, c'était hô combien plus facile de courir sur du goudron que dans les racines et la terre. Il arriva à la plage en haletant légèrement mais rien de bien alarmant pour son coeur. Cherchant une place des yeux, il vit un petit carré de sable sans personne en contre-bas. Il vint s'installer et étendit sa serviette et enleva son chandail. Il avai un superbe corps mais pas dans le sens athlète qui s'entraîne mais vraiment parce qu'il était en forme et surtout très endurant. Loin de faire un sport d'élite, il ne faisait que courir, ramper, tirer, sauter, lancer et sauver sa vie.